PS Val-de-Ruz

Né il y a 54 ans à Bienne, j’y ai effectué ma scolarité et suivi une formation de micromécanicien à l’École des
Métiers. J’ai accompli mes études d’ingénieur en microtechnique à Yverdon. Deux formations postgrade de
deux ans chacune sont venues s’ajouter au cours des années. La première en gestion à Neuchâtel et la
deuxième en logistique à Lausanne.

Dans la période de crise sans précédent que nous traversons, il est important de pouvoir compter sur notre
société. C’est la force de celle-ci qui nous aide à surmonter les épreuves ! Valorisons-la et continuons ensemble
à la renforcer. Le PS est le seul parti qui a cette préoccupation dans son ADN et qui place la société au coeur de
sa stratégie.

C’est grâce à cette motivation que depuis plus de 16 ans, j’ai oeuvré au CG des Hauts-Genevey, puis au CG de
Fenin-Vilas-Saules et maintenant à Val-de-Ruz.

Une société responsable donnera une place à chaque citoyenne et à chaque citoyen tout en respectant notre
environnement et en mettant en oeuvre des stratégies éco-responsables. Plusieurs initiatives au sein du CG ont
essayé de promouvoir la mobilité douce, les écoquartiers, l’intégration intergénérationnelle. Le PS s’est
malheureusement souvent retrouvé très seul à porter ces projets.

Nos actions au sein du CG de Val-de-Ruz sont importantes pour maintenir une qualité de vie digne de notre
belle commune et renforcer sa place dans le canton. Être ou devenir la 3e commune du canton demande
beaucoup d’énergie. Notre situation géographique médiane et le projet du futur Métro Neuchâtelois nous
ouvrent des perspectives très réjouissantes, mais des actions sont nécessaires dès aujourd’hui.

Je m’engage à être à l’écoute de nos concitoyennes et nos concitoyens pour garder une proximité entre
électeurs et élu. Cette proximité, je la vis tous les jours et continuerai de la cultiver avec conviction. Nos actions
politiques influencent notre vie quotidienne. Pensons par exemple au maintien des classes d’école dans nos
villages, au développement du réseau de transports publics et à la création d’habitations protégées situées,
idéalement, dans des écoquartiers. Le « grenier » du canton doit maintenir sa place et nous devons l’aider au
mieux de nos ressources.